Elles sont étudiantes, en situation de précarité, sans abri ou vivent avec un budget très contraint… Et elles n’ont pas les moyens d’acheter leurs protections hygiéniques mensuelles ou alors en quantités insuffisantes pour leur assurer une hygiène correcte. Près de 2 millions de femmes sont concernées en France par la précarité menstruelle, selon l’association Règles élémentaires. C’est un enjeu de santé publique, de solidarité et d’égalité des chances. Si des protections périodiques gratuites ont été mises à disposition dans plusieurs lieux collectifs – notamment certaines universités – et que de plus en plus d’associations se mobilisent, la situation reste tendue pour des milliers de femmes.
Si vous aussi, vous êtes ou vous avez été confrontée à la précarité menstruelle, racontez-nous. Comment faisiez-vous si, à l’approche de vos règles, vous étiez sans solution ? Vers qui vous tourniez-vous ? Avez-vous pu contacter des associations ? Lesquelles ? Quelles solutions avez-vous trouvées ? Connaissez-vous des initiatives innovantes sur ce sujet ?
Essentiel Santé Magazine recherche en effet des témoignages dans le cadre de futurs articles sur le thème de la précarité menstruelle.