Les chirurgiens-dentistes ont repris leurs activités depuis le 11 mai. Des mesures de sécurité sont prises, des agencements spécifiques apportés pour éviter aux patients de se croiser… Le point avec le Dr Christophe Lequart, porte-parole de l’Union française pour la santé bucco-dentaire.
Dans le contexte du coronavirus, les chirurgiens-dentistes se mobilisent sur deux fronts : redéfinir la notion d’urgence dentaire et s’organiser pour répondre aux questions des patients.
Grâce à des dispositifs peu ou non visibles, de plus en plus d’adultes – voire de seniors – y ont désormais recours. Si l’objectif des traitements orthodontiques est bien de redresser les dents, leurs intérêts dépassent largement la simple motivation esthétique.
Plusieurs méthodes et produits sont apparus ces dernières années sur le marché de l’hygiène dentaire proposant de retrouver un sourire extra-white. Dentifrices spéciaux, bars à sourire, gouttières… Quelles sont ces méthodes ? Ont-elles des limites ?
À partir de 6 ans, et désormais jusqu’à 24 ans, les enfants et adolescents ont droit, tous les trois ans, à un dépistage pris en charge par l'Assurance maladie chez le dentiste.
Chez le jeune enfant, l’orthodontie peut aider à limiter d’éventuels problèmes de dentition. Explications.
L’image du dentiste reste encore trop souvent celle d’un simple arracheur de dents. Si bien que nous reculons sans cesse le moment d’y aller. Contre toute logique.
A l’heure où les « bars à sourire » promettent des dents blanches et un sourire radieux, il est important de connaître quelques règles de base pour garder un beau sourire et même la santé en général !