Différents facteurs dans notre passé influencent notre capacité de résilience. Plus nous sommes sécurisés, rassurés par des liens affectifs forts, une vie sociale riche et capables de prendre de la distance par rapport aux événements de notre vie, meilleure sera notre capacité à rebondir après un traumatisme.
L’ampleur du choc, et aussi sa nature, jouent un grand rôle, tout comme la résonance qu’il éveille en nous. Un accompagnement le plus précoce possible aide à se placer dans l’après, dans ce long cheminement qui fera suite à l’hébétude, au déni ou au repli dans le rêve.
On sort toujours transformé d’un traumatisme. Les priorités ne sont plus les mêmes, le désir de vivre renaît avec une force nouvelle.
A lire aussi :
Excellente approche pédagogique, certes, mais je voudrais savoir si les personnes qui ont écrit cet article ont connu un traumatisme quelconque GRAVE ??? Car malheureusement, après avoir connu cette situation, j’ai appris à vivre « avec », mais certainement pas à faire « comme si ces évènements n’avaient jamais existé ». J’ai une vie sociale importante mais je garde toujours au fond de moi une plaie ouverte qui ne se ferme pas malgré les années qui passent et seuls mes « vrai(e)s ami(e)s » savent ce que je cache aux autres. Certes, la vie continue, mais elle ne reviendra jamais comme « avant ».
Bonsoir…. La Résilience est mon Amie après de multiples traumatismes sur toute une vie de plus de 50 ans…. Le développement personnel, les médecines parallèles et l’évolution m’ont permise de transformer toutes ces situations induites par mon conscient ou mon inconscient, en une certaine sérénité, amour de soi, passant également par prendre Soin de Soi, s’intéresser à Soi… Je pourrai partager cette expérience si vous le souhaitez. Cordialement,
Bonjour. Oui ces exactement ça, sa ne guéri pas .même en faisant des effort, il y a toujours quelques chose qui nous replonge dedans sans le vouloir.
Je traverse depuis mon enfance, des épisodes de ma vie,(le quotidien) qui me fait que, je reviens sur des souffrances involontaires de vie d avant .j ai 4 enfants et je l’ai aimé, mais lorsque un dès 4 et mal, impossible de faire la résilience. Car j ai une peur de l’ai perdre.
Excellente approche pédagogique !!!
Un MERCI !!!
Bien à Vous,
Hichem, ( enseignant, secondaire II )